Un nuovo stupro collettivo (sei uomini arrestati) in India. Dopo la morte della studentessa di New Dehli un nuovo crimine contro una donna, di nuovo su un autobus, stavolta nel nord del paese. Nel mondo i flsah mob delle donne contro la violenza, ma la violenza continua come con questo stupro collettivo in India. Da Le Monde del 14.2.13:
Nouvelle affaire de viol collectif en Inde
Le Monde.fr avec AFP | 13.01.2013
Six hommes ont été arrêtés dans une nouvelle affaire de viol collectif dans un autobus, dans le nord de l’Inde, a indiqué la police dimanche. “Six hommes ont été arrêtés car ils sont suspectés d’avoir violé une femme de 29 ans (…) après l’avoiramenée de force dans un endroit inconnu dans la nuit du 11 janvier”, a indiqué la police, précisant qu’un 7e suspect était recherché.
La victime était montée à bord d’un autobus vendredi pour se rendre dans sa belle-famille, dans l’Etat du Pendjab. Elle a alors été enlevée et conduite par motocyclette dans une maison près de la ville d’Amritsar. “Après avoir été enlevée, la dame a été violée brutalement par les sept suspects, tout au long de la nuit”, a ajoute la police. Ils l’ont ensuite déposée le long de la route, près du village de sa belle-famille, où elle a raconté l’agression à ses belles-sœurs.
Un responsable politique de l’Etat du Pendjab, membre du parti du Congrès, Partap Singh Bajwa, a accusé la police de ne pas effectuer des contrôles au sein des bus circulant dans la région. “C’est à cause du laxisme de la police qui ne prend jamais la peine de s’assurer de la sécurité des bus qui circulent la nuit sur les routes nationales”, a-t-il déclaré.
Ce fait divers rappelle l’affaire de New Delhi : une étudiante kinésithérapeute de 23 ans était montée dans un bus avec son compagnon, après une sortie au cinéma, le 16 décembre. Les six hommes présents dans le véhicule, dont le chauffeur, l’avaient violée et frappée, avant de la jeter sur le trottoir avec son compagnon, lui aussi tabassé.
Transférée à Singapour pour des greffes d’organes, elle n’a pas survécu à ses blessures. L’affaire a provoqué de vastes manifestations dans la capitale et mis en lumière les violences faites aux femmes dans ce pays largement dominé par les hommes.